Les chèques « Sports » : la désinformation via Schaerbeek Infos

Le conseiller communal Mohamed El Arnouki (Cdh) a attiré l’attention du Conseil communal sur une nouvelle désinformation parue dans Schaerbeek Infos à propos du dossier des chèques « sports ». Ainsi, il existe une différence de taille entre la note qui était proposée au vote en séance ce 29 mai 2007 et les informations parues dans le précédent Schaerbeek Infos. Etrange une fois de plus de constater le manque de rigueur au sein de ce qui est pourtant un organe d’information communal.

Bernard Clerfayt, acculé par les arguments de Mohamed El Arnouki, a bien dû consentir qu’il y avait eu une « erreur de frappe« .

Voici le texte de l’intervention du conseiller communal Mohamed El Arnouki (Cdh) 

« Dans la note qui nous a été transmise concernant les conditions d’octroi pour les chèques « sports », co-rédigé par l’échevinat des Sports et par le CPAS, j’ai constaté que les demandeurs seraient logés à la même enseigne tant sur les critères d’octroi que sur les montants alloués.

Le CPAS et l’Echevinat compétent en la matière conviennent de concert de demander aux bénéficiaires une participation de 20% du montant visé par l’intervention et de plafonner l’intervention à 150 euros par enfant.

En revanche, quelle n’a pas été ma surprise de constater dans le dernier Schaerbeek-Infos, une différence de taille entre ce qui nous est demandé d’approuver ce soir et l’information que vous communiquez à nos administrés.

En effet, d’après cet article, le CPAS plafonnerait l’aide susceptible d’être allouée à maximum 200 euros avec une intervention du bénéficiaire à hauteur de 10% du montant octroyé. L’échevinat des Sports quant à lui plafonnerait l’aide à 150 euros avec une intervention du demandeur à hauteur de 20%. Soit une différence de traitement selon que l’on soit usager du CPAS ou citoyen lambda s’inscrivant dans les critères d’octroi.

Or, comme je le disais initialement, dans la note commune à l’échevinat des Sports et au CPAS, ces derniers conviennent de concert de demander aux bénéficiaires une participation de 20% du montant visé par l’intervention et de plafonner l’intervention à 150 euros par enfant… »