Quelques exemples concrets de l’absurdité des projets proposés par le PCM

C’est indéniable, toucher à ce qui a trait à la mobilité, provoquera dans un sens ou dans l’autre une levée de boucliers. Il n’y a pas de solution miracle en la matière mais une vision globale de cette problématique s’impose afin d’éviter de sombrer dans des absurdités comme celles que je vais vous citer.

Ainsi, le plan communal de mobilité (PCM) aura pour conséquence les cas de figure suivants :

  • si vous devez vous rendre de l’avenue des Cerisiers à la rue Victor Hugo : trajet allongé de 425 mètres
  • un habitant de l’avenue de la Topaze (entre l’avenue Plasky et la chaussée de Louvain) ne pourra plus se rendre au Boulevard Reyers mais devra faire un détour par la chaussée de Louvain ou par l’avenue Milcamps et aboutir dans une place Meiser saturée