Après avoir déposé une lettre à l’attention du Collège échevinal hier soir lors de la séance du Conseil commual, invitant les instances communales au dialogue avec les responsables de cafés, bistros, restaurateurs et membres de l’Horeca de notre commune de Schaerbeek à propos de la problématique de l’application du règlement sur les terrasses (fermées de novembre à avril) situées sur la voie publique, j’ai effectué dès ce jeudi plus de 60 visites de terrain. Très clairement, le règlement dans son état est en décalage avec les besoins des intéressés. 

A vous qui êtes patrons de bistros, restaurateurs ou travailleurs de l’HORECA,

Vous avez été très nombreux à me contacter suite à la problématique « terrasse » à laquelle vous avez été nombreux à être confrontés ces derniers jours. Suite à l’article publié sur mon site dès le 21 novembre 2011, les terrasses situées sur un espace privé et qui avaient été démontées suite à l’intervention erronée de la police, ont pu être réinstallées et peuvent bien rester toute l’année en place comme le prévoit d’ailleurs le règlement.

Malheureusement, ce n’est pas le cas pour les nombreuses terrasses situées sur l’espace public. Il existe en effet un règlement communal autorisant les terrasses sur la voie publique d’avril à octobre, pas en dehors de ces mois-là.

Les autorités communales de Schaerbeek et la police de la zone ont décidé depuis le début du mois de novembre de faire appliquer à la lettre ce règlement sur les terrasses (alors que ce n’est pas vraiment la même politique rigoureuse comme par exemple avec les antennes paraboliques).

Alors que les beaux jours se prolongent, que la situation économique n’est pas au beau fixe et que les personnes qui fument (et c’est leur choix) ont besoin de sortir de l’établissement pour prendre une cigarette, il est regrettable qu’il n’y ait pas davantage de tolérance et de souplesse dans l’application de ce règlement « terrasse » qui mériterait d’être repensé.

Je demanderai donc en tant que conseiller communal et ancien échevin des Classes moyennes (1995-2006) aux responsables communaux de réfléchir avec vous à une solution respectant vos besoin de fonctionnement.

Restant à votre disposition,

Jean-Pierre Van Gorp, Conseiller communal 

Un immeuble de 9 logements communaux vient d’être construit avenue Georges Rodenbach, 14-18 en face du commissariat de police. Une bonne nouvelle pour la politique du logement à Schaerbeek qui était en bémol ces dernières années.  

Nouvelle enquête publique en ce qui concerne le projet de réaménagement du parc Walckiers par Bruxelles-Environnement. On se souviendra que la première enquête publique avait soulevé les inquiétudes et les protestations. Au final, la commission de concertation initiale avait été annulée sans plus d’explications.

Pendant de très longues années, l’entreprise de traitement du bois Lochten était installée à l’angle de la rue des Coteaux et de la rue Van Hoorde à Schaerbeek. Aujourd’hui, elle s’est expatriée vers la commune de Forest. Cet espace qui est toujours propriété de l’entreprise est donc inoccupé même si comme ce week-end il a abrité le festival Mimouna. Un vaste espace dans un quartier où les superficies inoccupées sont rares. Un projet aussi bien de logements, que tourné vers le social et avec espace de stationnement pourrait tout à fait y être envisagé. La bourgmestre faisant fonction et écehvine de l’urbanisme Cécile Jodogne me confirmait ce samedi que des discussions avaient lieu à ce propos entre l’entreprise Lochten et la commune de Schaerbeek. De bonne augure -si cela s’inscrit dans cette optique- pour le quartier.  

Le Festival « Mimouna » a eu lieu du 25 au 27 novembre en l’espace Lochten à l’angle des rues des Coteaux et Van Hoorde dans une ambiance très chaleureuse et conviviale. Encore bravo au service de la Prévention-Intégration pour cette belle organisation.

L’école communale de la rue Josaphat accueillait ce week-end l’événement « Josaph’Art » qui regroupe plusieurs exposants et de bonnes idées cadeaux pour les fêtes de fin d’année. L’occasion pour moi de faire l’achat de deux petits objets au stand tenu par l’association « Les enfants de Tchernobyl« .