Ouverture le 20 octobre 2020 de l’exposition « Choco loco » à Train World à la gare de Schaerbeek et ce jusqu’au 21 février 2021. Une vingtaine de sculptures en chocolat ont été créées pour cette exposition, imaginées par François Schuiten, scénographe de Train World et réalisées par des chocolatiers sculpteurs Peter Teerlinck et Bart Steegmans. Les chocolatiers Pierre Marcolini et Dominique Persoone en sont les parrains.
Le concours de la meilleure croquette de crevettes sacrera son champion le 21 novembre prochain. Plusieurs établissements de renom comme les Brasseries Georges, Lola, le Villance, … y participent. Un Schaerbeekois est aussi sélectionné, il s’agit du Live Central Park (avenue des Azalées). Cliquez ici pour un article complémentaire.
La Commune de Schaerbeek lance un appel pour « l’exploitation d’un dispositif permettant la préparation et la vente de nourriture « à emporter » place Van Ysendyck. Les offres sont à déposer pour le 24 octobre 2020. Prix minimum demandé 350 €/mois.
La bibliothèque néerlandophone communale de Schaerbeek installée boulevard Lambermont, 224 a fait peau neuve et change de nom. Elle s’appelle désormais Bib Sophia. Cliquez ici pour consulter sa page internet.
Intéressé par l’exploitation de l’espace Horeca L’Estaminet de la Maison des Arts de Schaerbeek (chaussée de Haecht, 147) ? Cliquez ici pour tous les détails du cahier des charges. Les offres sont à rentrer pour le 4 décembre 2020.
Du 5 octobre au 11 décembre 2020, la Maison de la Francité à Bruxelles présente l’exposition de photographies d’Eric Ostermann « Bruxelles en confinement« . Vous y découvrirez notre capitale bien déserte avec des lieux emblématiques comme la Grand Place, la place des Palais, la place royale, la place De Brouckère, …
Cliquez ici pour voir le diaporama. La Maison de la Francité se situe rue Joseph II, 18 à 1000 Bruxelles. L’entrée est gratuite. Du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h.
La Commune de Schaerbeek a décidé de maintenir le port du masque obligatoire aux abords des écoles et dans les marchés hebdomadaires, en plus des lieux comme les stations STIB, supermarchés,…Il en sera de même pour les artères fort fréquentées. Cliquez ici pour voir l’article dans La Dernière Heure.
Le 8 octobre prochain, la phase test des aménagements avenue des Azalées et rues avoisinantes fera l’objet d’une réunion entre les autorités communales et les riverains. Depuis la réalisation de ses aménagements sans aucune concertation, les positions sont très tranchées : entre ceux qui trouvent que cela a apaisé l’artère et ceux qui au contraire estiment que cela la coupe du reste du monde, point de vue soutenue en grande partie par les commerçants. Pour ma part en tant que Schaerbeekois, ne vivant pas dans le quartier, j’ai un constat premier : l’avenue des Azalées qui était jusqu’alors l’une des artères les plus élégantes de notre commune, face au parc Josaphat, a été totalement saccagée d’un point de vue esthétique.
François Robert, journaliste honoraire et Schaerbeekois, traduit parfaitement ce ressenti par ces lignes : « Les Azalées. Un quartier apaisé ou berné ? C’était la journée sans voitures. Ou la journée du patrimoine (à chacun sa sensibilité). Et dans les deux cas, un belle occasion pour arpenter Schaerbeek. Le temps était magnifique (presque de quoi vous réconcilier avec le réchauffement climatique). J’ai remonté l’avenue Louis Bertrand, longé le parc Josaphat pour atteindre l’avenue des Azalées. Et là, le choc. Brutal.
Bien sûr, on m’avait prévenu : Azalées, maintenant, c’est laid. Mais je ne m’attendais à ce paysage urbain sinistré. J’ai pas mal voyagé dans ma vie. Les images-souvenirs ont afflué. Beyrouth, Check Point Charlie, la frontière israélo-égyptienne, les casques bleus de Nicosie. Le décor est le même : des chicanes, des blocs de béton, une signalisation aléatoire. Il ne manque que les lettres UN (United Nations), les sacs de sables, quelques guérites, du fil barbelé et les policiers de la Stasi. Je me retourne, j’écarquille les yeux. Je suis pourtant bien à Schaerbeek le 20 septembre 2020 et non à Berlin le 20 septembre 1970, il y a cinquante ans.
Un quartier « apaisé », pour utiliser la nouvelle terminologie. Il paraît que cela rime avec mobilité douce. Moi, je ne vois que des blocs de béton gris jetés sur la voirie, les voitures garées au milieu de la chaussée, une signalisation incompréhensible. C’est laid, c’est moche. C’est déroutant, angoissant même. Plus un promeneur dans les rues et un glacier fermé. Allons, allons, c’est pour la bonne cause : pour éviter le trafic du transit. Effectivement. Je peux témoigner qu’il n’y a personne.
Sommes-nous devenus fous pour aliéner nos sens et ne pas voir que l’avenue des Azalées est désormais l’artère la plus laide de Schaerbeek ? Face à un tel aménagement, je me sens mal à l’aise. Je suis effrayé. Les mots ont un sens et quand on les manipule, c’est rarement sans arrière-pensée. Changer les mots, c’est la porte qui s’ouvre vers d’autres dérives.
Un quartier « apaisé » ? J’appréhende le jour où il sera « tranquillisé » Ou « assagi » A moins qu’il ne soit bientôt franchement « pacifié ». Voire « guéri ». Et sûrement « délivré » (des voitures ?). Ouvrez les yeux : les Azalées, c’est moche. Extrêmement moche. Je doute sincèrement que les habitants apprécient un tel aménagement, même temporaire (le temporaire dure très longtemps à Bruxelles). Vivre dans un environnement laid n’a rien d’enthousiasmant.
Les Azalées ? Un quartier floué, trahi, berné, dupé et escroqué par quelques égarés, sacrifié sur l’autel d’une rhétorique verbeuse à la mode qui se gave de mots galvaudés. Cela ne vaut pas la peine. » (la photo qui sert d’illustration a été prise par M.F. Dispa un jour d’embouteillages et diffusée sur Facebook, elle donne une idée des aménagements et du stationnement en berme centrale)
Voici la liste des commerces qui participent à l’action de la Commune de Schaerbeek #1030SHOPLOCAL. Pour les restaurateurs/cafés : Brunch Corner, Pause café, Glacier Flamingo,Petales de rose, Le New Majestic, Daje, The place to cheese, Boentje Café, La laiterie, JORAN – Cidrothèque, Brasserie de Lalaing,Côté gourmand, Les Trouvailles de Louise, Chez Noémie, Chez Marraine, Al Doppio A, Pasta House Helmet, Pasta House Eenens, Snack La Cage, Dominiq,1030 Café, le thym frais, L’ Ane Vert, Babelmet, Ponto de encontro, À la Maison,Tekince Tantuni, Tekince Kebap, Bouillon de Cultures, Beykoz Helmet, Chez Félix, Atlas resto, Xocolate, Le Pot d’Etain, L’Emir, Merveillosa, Le Zinneke,Trattoria Dongigi, La ruota, L’eden, Jardin Asiatique,Maeva & co, restaurant Asia, le Nikita, Stella d’Italia, Snack des frères, New Plasky, Python,La Selva, L’alliance, snc lippi,Omega Med, Emirates,Doudou Miel, Bo-zin,Pribas drink center et Great restaurant.
Cliquez ici pour la liste complète des commerçants. L’action qui consiste à consommer pour 25 € chez l’un des participants (vous recevez alors 10 €) et à les dépenser après achat pour 25 € chez un 2ème commerçant se déroulera du 1 au 18 octobre 2020.
Ouverture ces derniers jours d’un bar à vins « Achille » sur le coin de la place Colignon et la rue Verwée, où était autrefois installé le restaurant « La Cueva de Castille ». Possibilité de manger des planchettes de fromages et charcuterie ou des huîtres (15 € pour 6).
Un article du quotidien « La Capitale » évoquait les difficultés rencontrées par certains commerçants du parc Josaphat depuis la mise en sens unique de l’avenue des Azalées, avec le trafic des autos qui est sur le côté gauche et des mises en sens interdit de la rue des pâquerettes et de la rue Fontaine d’Amour. Le magasin « La ritournelle » qui est un dépôt-vente de vêtements de seconde main pour enfants semble, selon l’article, particulièrement en souffrir puisque la clientèle ne passe désormais plus dans le quartier si elle est motorisée.
L’enquête publique sur le réaménagement de la place Pogge, de la place d’Houffalize et des rues avoisinantes est en cours juqu’au 14 octobre 2020 et ceci dans le cadre du programme du contrat de quartier durable « Pogge ». Modifications de sens de circulation, zones plus « piétonnes »,… sont notamment proposées. Pour tous les renseignements, adressez-vous à l’asbl RenovaS, cliquez ici.