Hôtel communal fermé ce 15 août
En ce jour ferié du 15 août, l’Hôtel communal de Schaerbeek sera fermé.
En ce jour ferié du 15 août, l’Hôtel communal de Schaerbeek sera fermé.
Eric-Emmanuel Schmitt est actuellement l’un des auteurs francophones les plus lus. Pour preuve, ses oeuvres sont traduites en 35 langues.
Né en 1960 à Lyon, Eric-Emmanuel Schmitt étudie ensuite en khâgne puis intègre l’Ecole noramel supérieure. Il y décroche une agrégation de philosphie. Sa thèse aura pour sujet « Diderot et la métaphysique« . Il enseignera ensuite à Saint-Cyr (au cours de son service militaire), à Cherbourg et à l’université de Chambéry.
C’est au cours d’un voyage au Sahara et suite à une expérience mystique qu’il décide de se lancer dans l’écriture. Il se fait rapidement connaître par ses écrits au théâtre. C’est « La Nuit de Valognes« , une variation moderne de Don Juan qui le révèle au public français en 1991.
La Dernière Heure du 13 août 2007 par Ma.C.
La braderie de rentrée dans le quartier Helmet supprimée et un nouveau marché rue Josaphat en perspective
Remettre un peu d’ordre dans tout ça. C’est, en résumé, la dynamique que compte enclencher Etienne Noël (MR), échevin schaerbeekois des Classes moyennes dès cet hiver peut-être. Il indiquait la semaine dernière à nos confrères de Sudpresse recevoir pas mal de demandes pour de nouveaux marchés dans la cité des Anes qui en compte déjà pourtant une demi-douzaine, sans compter les nombreuses brocantes et braderies qui animent les quartiers.
Le week-end des 18 et 19 août 2007, le village de Chassepierre en Gaume accueille la 34ème Fête des artistes de rue.
Au programme : spectacles de rue, théâtre en plein air, divers stands pour se restaurer, de l’artisanat local,…
Pour tous les renseignements : www.chassepierre.be
A partir de vendredi, une nouvelle rubrique fera son apparition à raison de deux fois par mois.
La rubrique « ma bibliothèque » fera un focus sur des livres que j’ai lu récemment ou il y a quelques temps déjà.
Une présentation synthétique de ces livres sans aucune prétention, juste l’envie de vous faire partager des coups de coeur et de vous donner pourquoi pas l’envie de lire ou relire certains de ces ouvrages.
La section schaerbeekoise de la Croix-Rouge organise une collecte de sang le vendredi 17 août de 16 h à 19h rue Anatole France, 31 (au rez-de-chaussée), dans le quartier de la gare de Schaerbeek.
Pour effectuer un don de sang, il faut être âgé de 18 ans et se munir de sa carte d’identité.
Superbe initiative que celle d’un professeur de français, Madame Croisillet qui enseigne au Centre scolaire Sainte-Marie à Schaerbeek. Ses élèves sont des adolescents de 4ème et de 7ème année professionnelle.
Afin de les attirer davantage vers la lecture, elle a cette idée de génie de leur proposer d’écrire de petites histoires pour enfants. Les élèves sont enthousiastes et prennent leur plus belle plume.
Madame Croisillet contacte alors la Fondation Roi Baudouin et le Fonds Prince Philippe afin de glaner leur soutien pour l’édition du recueil des contes.
Pour illustrer l’ouvrage, le professeur a fait appel aux élèves de l’école Sint Lukas. Beau trait d’union entre deux communautés linguistiques et entre différentes communautés culturelles que l’aboutissement de ce projet.
« Alex, Aylin, Valérie…et leurs amis, en hun vrienden » est disposnible au prix de 14 euros dans les librairies Standaard boekhandel, Tropismes, Au rat conteur et à l’UOPC.
Dernière Heure du 10 août 2007 par Christian Carpentier
S’il s’agissait de Nicolas Sarkozy, on parierait pour une stratégie d’occupation des médias savamment construite. Mais Yves Letherme est aux antipodes du président français, sur ce point-là comme sur bien d’autres. Et s’il a désormais quasi quotidiennement l’honneur des colonnes de journaux et des JT pour autre chose que le fond de sa mission, si les polémiques se multiplient écornant chaque jour un peu plus son image comme celle de l’ensemble des négociateurs, et s’il donne l’impression inquiétante de subir les choses plutôt que de les initier et de les maîtriser, il ne doit s’en prendre qu’à lui-même et à sa méthode.
Ou plutôt à son absence de méthode. Mélanger sans arrêt les thématiques, jouer l’effet de surprise sur l’agenda, convoquer et annuler des réunions n’aurait rien de choquant si cela permettait d’avancer. Or, c’est tout l’inverse. La semaine qui s’achève, qu’on annonçait pourtant cruciale, aura été dramatiquement vide de contenu.
Plus personne n’est dupe : Yves Leterme improvise tout ce qu’il entreprend. Il le fait au gré de ses humeurs, des pressions qu’il subit de son parti, des réflexions qu’il entend au hasard d’une conversation. C’est dur, mais c’est ainsi : celui qui se préparait à entrer au 16 depuis de très longs mois déjà apparaît, à présent qu’il est au pied du mur, comme dramatiquement impréparé à endosser le costume.
Le formateur donne à ceux qui le côtoient au quotidien l’image d’un politicien sans vision, sans structure, sans relais, sans idées et sans enthousiasme. Son manque d’autorité, qui l’amène à se cacher maladroitement dans des hôtels ou à faire sortir les convives par des portes dérobées pour éviter les phrases assassines des négociateurs auxquels il est incapable d’imposer un silence radio, fait pour le moins réfléchir.
Deux mois déjà que nous sommes allés aux urnes. Et depuis, eh bien pas grand chose si ce n’est les va-et-viens des négociateurs à la grille de Val Duchesse, les déclarations totalement contradictoires des uns et des autres (à se demander s’ils sont tous autour de la table) et les réticences clairement exprimées de certains sur les sujets sensibles comme le communautaire, la fiscalité,…
Bref, vu de l’extérieur, beaucoup de vent et rien de concret. On amende, on attend une nouvelle version de la note,… Sans parler des polémiques à répétition, des déclarations des uns et des autres à la presse, histoire de se faire mousser ou de rassurer son électorat.
Si vous souhaitez visionner toutes les photos de la 699ème édition du Meyboom, cliquez sur www.meyboom.be
Même la pluie n’a pas freiné l’enthousiasme et l’ardeur des participants à la fête du Meyboom. Ici, en compagnie du bourgmestre Freddy Thielemans (PS), également bûûmdroeger mais qui cette année n’avait pas revêtu l’uniforme en raison de son tout récent accident de moto qui lui a valu 3 côtes cassées.
La plantation du Meyboom s’est effectuée au coin de la rue des Sables et de la rue du Marais. Cette année, en raison de la pluie (qui tombait d’ailleurs abondamment au moment de la plantation) et de sa hauteur (4 mètres de plus que l’an dernier), les bûûmdroegers ont dû s’y reprendre à 6 reprises pour planter le Meyboom.
Finalement, à 16h43, le Meyboom fut planté sous les applaudissements du public.
Malgré le temps très pluvieux, le public était présent rue des Sables pour assister à la plantation du Meyboom avant 17 heures.
Ici, le cortège et ses différentes composantes en route vers la plantation !
Avant de remonter dans l’autocar, le Président du Meyboom, Toine entouré des Bûûmdroegers a fièrement posé sur le perron de l’Hôtel communal de Schaerbeek.
Une photo de famille avant de continuer vers les différentes haltes schaerbeekoises, ten-noodoises et le quartier de la Grand Place.