En vue des élections régionales du 7 juin prochain, je vous invite à nous retrouver dans le cadre de différents espaces rencontres où nous aurons l’opportunité de débattre des thèmes de société qui nous tiennent à coeur pour notre Région de Bruxelles-Capitale. L’occasion également de rencontrer en toute convivialité d’autres candidats sur la liste PS aux élections régionales du 7 juin prochain.
Voici les dates des « espaces rencontres » qui se dérouleront avenue Zénobe Gramme, 74 à Schaerbeek :
Voici le tronçon de la rue Royale Sainte Marie au niveau des Halles de Schaerbeek superbement illuminé avec en arrière plan l’église Royale Sainte Marie. Une initiative qui revient au Secrétaire d’Etat bruxellois, Pascal Smet.
Un éclairage que je trouve personnellement réussi. A l’époque où j’étais échevin des Travaux publics, j’avais assisté à des essais de mise en lumière de bâtiments schaerbeekois remarquables.Le reponsable du projet m’avait alors quelque peu agacé, souhaitant illuminer ces bâtiments au minimum. Alors que nous échangions nos points de vue antagonistes, il m’avait expliqué qu’il était un chaud partisan de l’éclairage « noir noir » !
A l’initiative de l’échevine de Bruxelles-Ville, Karine Lalieux en charge de la propreté publique, ce samedi a eu lieu « La journée propreté » oragnisée en vue de sensibiliser les habitants à maintenir propre leur rue et leur quartier. La journée s’est achevée par la remise d’un petit costume à Manneken Pis. Tous les détails sur « La journée propreté » sur le site de l’échevine Karine Lalieux.
Ce dimanche en fin d’après-midi, j’ai eu le plaisir de revoir Philippe, le papa de Bichon, lors de la soirée de clôture du 11ème « Challenge de basket Bichon » qui se déroulait à l’école Georges Primo.
L’asbl « Les copains à bord » organisait une croisière sur le Rhône. Nos amis seniors s’y sont, comme on peut le voir sur cette photo, très bien amusés. En plus des visites et du repos sur le pont du bateau, ils n’ont rien perdu de leur légendaire dynamisme en s’adonnant à un cours de gymnastique.
Samedi soir avait lieu comme chaque année la traditionnelle « Fête du muguet » à Ganshoren. Repas convivial, ambiance détendue et petits pas de danse ont ponctué cette agréable soirée à laquelle assistaient la bourgmestre Michèle Carthé,l’échevine de Bruxelles-Ville Karine Lalieux, la députée régionale Julie Fiszman et Yonnec Polet (37ème candidat).
Réunion d’urgence jeudi soir du Conseil d’administration de l’asbl Neptunium suite à l’inculpation et incarcération de Redouane Kadiri, responsable du club de taekwondo Central Academy (installé dans le gymnase du complexe) et collaborateur du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt.
Une réunion présidée par Saït Köse, échevin des Sports et à laquelle assistait le représentant du PS schaerbeekois, François Bauduin.L’échevin des Sports y est apparu très détendu mais exaspéré de devoir au final subir les conséquences des petits jeux politiques de l’ancien échevin des Sports, Michel De Herde (MR-FDF) et du ratissage électoral maximal du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt. Bref, en perspective du beau nettoyage de linge sale au sein de la section FDF de Schaerbeek.
Rapide topo : 2001, Michel De Herde (MR-FDF) devient échevin des sports et succède à Xavier Winkel (Ecolo) aux destinées du complexe Neptunium. A cette époque, la salle dite le gymnase est occupée par différentes associations et clubs sportifs. Sur insistance de Michel De Herde et malgré le peu d’enthousiasme au sein du CA de Neptunium, Central Academy dirigée par Redouane Kadiri obtient début 2002 l’exclusivité d’occupation de la salle.
Septembre 2002, un bail de location est signé avec Central Académy. Un bail qui permet notamment la sous-location. L’un des sous-locataires sera d’ailleurs…la police.
2006, année d’élections communales, Central Academy accuse des mois de retard de paiement. Procédure auprès du Juge de paix et jugement forcément favorable à l’asbl Neptunium en septembre 2006. A la veille du scrutin communal qui déchire Schaerbeek, des pressions sont exercées sur Saït Köse devenu entre temps échevin des Sports après le retrait de cette compétence à Michel De Herde (qui avait quitté le FDF pour le MR avant d’y revenir) afin de surseoir au jugement.
Dans la foulée, le directeur du Neptunium est licencié mais certainement pas pour faute grave comme l’indiquait Bernard Clerfayt dans les colonnes de « La Capitale« . Il a en effet perçu d’importantes indemnités. Difficile si cela avait été pour un licenciement pour fautes graves. Encore une information revue et corrigée par le Secrétaire d’Etat.
Aujourd’hui et sans entrer pour le moment dans toute une série d’autres détails, il apparaît que Central Académy est redevable de 8 mois de loyers. Un loyer mensuel qui n’est toutefois au vu de la superficie occupée et des sous-locations, pas si conséquent que cela : 312 euros.
A nouveau, Central Academy n’est pas inquiété. On ne paye pas mais son responsable Redouane Kadiri fait son entrée en novembre dernier en tant que collaborateur politique au sein du cabinet du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt. Comment est-ce imaginable d’avoir à ses côtés quelqu’un qui mène un train de vie somptueux (selon l’entourage professionnel de Redouane Kadiri et de son épouse employée communale) et ostentatoire mais qui est dans l’incapacité d’acquitter la modique somme mensuelle de 312 euros de loyer ? Cela s’appelle de la complaisance.
Voici les différents articles publiés par les journaux « La Capitale » , « La Dernière Heure » et « Le Soir« à propos des fausses naturalisations et inscriptions à Schaerbeek ainsi qu’au(x) mariage(s) blanc(s) dont les chevilles ouvrières seraient Redouane Kadiri, collaborateur politique du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt et son épouse, une employée communale. Tous deux sont aujourd’hui placés sous les verrous par la juge d’instruction.
C’est bien logiquement humain de la part du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt que de tenter de minimiser l’importance et le rôle de Redouane Kadiri au sein de son cabinet de Secrétaire d’Etat, surtout suite à l’inculpation de l’intéressé et de son épouse pour trafic d’êtres humains, fraude informatique et faux en écriture. Ainsi, cette personne qui travaillait jusqu’à son arrestation au cabinet de Bernard Clerfayt au North Galaxy est toujours présentée comme un collaborateur à mi-temps, occupant des fonctions subalternes.
J’imagine aisément qu’en période électorale et davantage encore lorsque l’on serine depuis des années qu’on est le meilleur au niveau de la bonne gouvernance à Schaerbeek, la pilule doit être assez difficile à avaler. Dur en effet d’admettre qu’on s’est mal entouré. Toutefois, de là à rabaisser son ancien collaborateur à un collaborateur subalterne, il y a une marge. Ainsi, le portail du gouvernement fédéral qui détaille la composition des cabinets ministériels, indiquait encore clairement hier que la personne aujourd’hui inculpée et sous les verrous, travaill(ait)e au sein du cabinet de Bernard Clerfayt en tant que « collaborateur politique« . Pas si subalterne que cela donc. Curieusement d’ailleurs, la même dénomination que pour l’échevin Michel De Herde (également membre du cabinet du Secrétaire d’Etat). Je doute fortement que Michel De Herde, conseiller politique au sein du cabinet, puisse être qualifié de collaborateur subalterne…
Comme quoi dans la tourmente mediatico-judiciaire, on finit par raconter n’importe quoi dans le seul objectif de minimiser un choix malheureux de recrutement d’un collaborateur et ceci avec en toile de fond la volonté de Bernard Clerfayt de bien s’implanter au sein de la communauté marocaine de Schaerbeek.
Voici les articles parus ce mercredi 22 avril 2009 dans la Dernière Heure, La Capitale et Le Soir suite aux perquisitions effectuées au service de l’Etat civil de Schaerbeek, au complexe Neptunium dans les locaux occupés par « Central Académy » et au cabinet du Secrétaire d’Etat Bernard Clerfayt suite à l’arrestation d’une fonctionnaire schaerbeekoise et de son époux, collaborateur politique au sein du cabinet de Bernard Clerfayt. Le parquet a annoncé leur inculpation pour trafic d’êtres humains, fraude informatique et faux en écriture.