Léon Verreydt que l’on nomme « schaerbeekologue » publie un nouvel ouvrage historique sur notre commune « Schaerbeek d’hier et d’aujourd’hui« , fruit d’une collaboration avec un passionné de photos et collectionneur de cartes postales, Luc Verbiest. 100 cartes postales illustrent cet ouvrage.
Renseignements complémentaires et commande : Léon Verreydt – Rue Alexandre De Cralene, 31 -1030 Bruxelles – 02.241.82.60 – e-mail : verreydt.leon@gmail.com
Après de longues années d’attente, Schaerbeek aura enfin un stade digne de ce nom. Le chantier du Crossing est actuellement dans sa dernière phase. Un projet qui a pu être mené à bien grâce à l’appui considérable de Beliris, l’accord de coopération entre l’Etat fédéral et la Région bruxelloise et dont est en charge Laurette Onkelinx au sein du gouvernement fédéral sortant.
Pour prendre ces clichés des chantiers communaux en cours rue d’Aerschot, je m’y suis rendu dimanche en matinée. Je me suis immédiatement fait la réflexion qu’au niveau de la propreté, c’est toujours un éternel recommencement. Je me souviens qu’en charge de la propreté publique, nous nous étions attaqués avec le service à la malpropreté de la rue d’Aerschot. Combien de planques avec l’appui de la police n’ont-elles pas été menées ? Aujourd’hui, elles ont d’ailleurs encore lieu. Mais malgré l’information, le placement d’urinoirs, les verbalisations et la bonne volonté des riverains, la rue et ses bâtiments dont cet immeuble communal faisaient bien peine à voir.
Quelle désolation de voir le chantier de construction d’un immeuble communal à l’angle de la rue Rogier et de la rue d’Aerschot dans un tel état. Tags, fenêtres cassées, tuiles arrachées et façade souillée. A l’initiative de la Région de Bruxelles-Capitale, la commune de Schaerbeek a bénéficié d’un contrat de quartier sur le périmètre Aerschot-Progrès. L’objectif principal était de racheter des immeubles d’angle avec la rue d’Aerschot pour les rénover et les destiner ensuite au logement voire de transit. Hélàs, des ennuis au niveau des chantiers ont paralysé cet objectif durant plusieurs années. Aujourd’hui, un seul bâtiment est achevé et occupé. Trois autres sont bien avancés mais celui-ci est une vrai désolation.
Bien inquiétante situation avenue Louis Bertrand dans le tronçon proche de l’avenue du Suffrage universel et du stade du Crossing. Une caravane visiblement accidentée et vandalisée est stationnée de manière fort dangereuse. Tout ceci est assez interpellant à savoir que l’engin n’ait pas été enlevé puisqu’il s’agit quand même d’une zone de passage régulier pour promeneurs à l’entrée du parc Josaphat.
Vendredi a eu lieu le vernissage de l’exposition consacrée à l’incendie de l’hôtel communal de Schaerbeek. Toiles immortalisant l’édifice après le ravage des flammes, documents d’époque, plans et projet de reconstruction sont exposés au public après un important travail de recherches de la part du service des Archives de la commune de Schaerbeek. L’exposition est ouverte au public dans la salle du Musée de l’hôtel communal jusqu’en janvier 2012.
Bruxelles Environnement organise une réunion d’information sur son projet de réaménagement du parc Walckiers ce lundi 17 octobre 2011 à 19h à l’Institut de la Sainte Famille rue Chaumontel, 5 à 1030 Schaerbeek. L’occasion très certainement d’y voir plus clair dans ce projet qui suscite déjà de vives contestations.
En arpentant les rues de Schaerbeek, vous avez certainement remarqué des petites pavés en mosaïques. Initialement, ils indiquaient le parcours d’artistes en 2009. Aujourd’hui, ils colorent les trottoirs de la Commune. Ils sont l’oeuvre de l’artiste Ingrid Schreyers et peuvent être commandés sous le format 30×30 ou 15×15.
Je pensais qu’il s’agissait d’une sorte de légende urbaine qui m’était rapportée par des Schaerbeekois bien dépités d’avoir reçu une amende pour dépassement du stationnement payant. Aujourd’hui, au vu de mon expérience, je confirme que c’est bien réel. Ainsi, on m’avait toujours affirmé que les personnes travaillant pour la société Rauwers qui gère pour la Commune de Schaerbeek le stationnement, étaient plus que zélées, attendant parfois même à la minute que pour pouvoir « coller une prune ».
Ce lundi vers 8h30, je me rends à l’administration place Colignon pour y consulter une enquête publique. Le stationnement payant sur la place débute à 9h. Je prends donc un ticket mais bon comme cela arrive souvent, cela prend un peu plus de temps. Mon ticket est valable jusqu’à 9h32. A 9h41, amende de 25 euros de Rauwers. J’étais de retour à 9h42…
Alors on me dira que je n’avais avec ma carte de stationnement riverain qu’à me garer dans un lieu non payant mais la logique lorsque l’on va à l’hôtel communal c’est de se garer au plus près et de faire au plus vite. Au vu des files ou des démarches à poser, on est évidemment pas toujours certain d’être de retour à l’heure. Une marge de tolérance de 15 minutes me semblerait bien légitime pour des citoyens venant à l’administration.
Bref, tout cela pour conclure qu’avec le recul, je regrette d’avoir une telle gestion du stationnement dans notre commune. Une gestion où l’on a fait abstraction du service au public. Dans d’autres communes comme Saint Gilles ou Bruxelles-Ville, ce sont des agents communaux qui s’occupent du stationnement. Le contact y est sans conteste plus humain car tout simplement impulsé par le sens du service public et non pas une course effrénée vers le gain (bien légitime sous cet angle-là) de la part d’agents engagés par une entreprise privée.
Je suis allé ce lundi matin consulter les documents de l’enquête publique actuellement en cours en ce qui concerne le projet de transformation du parc Walckiers et du site naturel classé du Moeraske par Bruxelles-Environnement et la Ministre Evelyne Huyttebreok (Ecolo). Malgré les garanties fournies notamment en ce qui concerne la sécurisation d’un lieu qui sera dorénavant bien davantage accessible au public, on peut fortement en douter pour le voisinnage immédiat.
En outre, les aménagements de chemins carrossables, de constructions de nouvelles aires de jeu ainsi que l’abattage de 113 arbres posent logiquement des interrogations quant aux répercussiosn sur la faune actuelle : lérots (seule population en Région bruxelloise), les perroquets,…
Au final, beaucoup d’interrogations, de sceptisme aussi : quelle est la réelle plus value de ce projet ? La Commission de l’Environnement de Bruxelles et Environnement qui est une association apolitique visnat à la protection du patrimoine naturel et architectural de la Région bruxelloise et qui s’occupe entre autres du site du Moeraske-Walckiers vous informe plus en détails sur son site et vous invite à prendre connaissance son alterantive d’aménagement. Plus d’informations sur www.cebe.be
Vernissage de l’exposition « En avant la musique » des artistes Michel Doutreligne, Pascal Dubard et Patrick Hoedt au siège de la COCOF rue des Palais, 42 à Schaerbeek. Elle sera accessible au public jusqu’au 29 juin 2012.
Faut-il craindre pour l’avenir du Moeraske (article du journal La Capitale du 5.10.20111) ? C’est la question que je me pose. Revenant de vacances, j’aperçois en rue des affiches rouges d’enquête d’urbanisme relative au réaménagement du parc Walckiers et de la réserve naturelle du Moeraske. En tant que riverain, je me dis que dans les prochains jours, je vais me déplacer jusqu’au service de l’urbanisme de la commune de Schaerbeek pour y consulter le dossier actuellement à l’enquête publique. Mais il est vrai que je suis très interpellé et en questionnement quant au projet porté par la Ministre Evelyne Huytebroeck( Ecolo) : 113 arbres programmés pour être abattus, promenade agrandie, divers améngements pour le public,…
Le Moeraske était à ce jour préservé et surtout très connu des amoureux de la nature. Y améneger des aires, des espaces et des passages pour le public, contribuera très certainement à faire fuir une très riche faune dont des lérots.
Dans ma boîte aux lettres ce soir, une lettre de la commision d’environnement de Bruxelles et des environs (CEBE) attire l’attention de chacun sur l’abattage inutile d’arbres, des voies carrossables, du bruit nocif pour la faune,… Je suis donc en questionnement total. Avis argumenté dès que je serai passé au service de l’urbanisme mais question de base : pourquoi s’en prendre de la sorte à ce genre de lieux si protégé à ce jour, dernier havre de paix et poumon vert de notre région ?
La semaine européenne de la démocratie locale aura lieu du 10 au 16 octobre 2011. Diverses activités sont proposées par les communes et la Région de Bruxelles-Capitale. Au niveau de Schaerbeek, une visite guidée de l’hôtel communal pour les nouveaux habitants, une réception pour les personens qui vivent depuis 60 ans sur le territoire communal ou encore une conférence en partenriat avec Amnesty International seront proposées.