Que Moulinsart SA s’en prenne à la décoration du restaurant schaerbeekois « Faubourg Saint Antoine » a soulevé de nombreuses protestations et une vague d’indignation. En effet, aucune volonté de faire commerce ou de nuire à Tintin dans le chef du patron du restaurant, collectionneur de longue date et détenteur de quelques contrefaçons. Le député PS Rachid Madrane va interpeller la Ministre de la Justice quant au cadre trop restrictif de la loi sur les droits d’auteur. (Article de la Dernière Heure – 20.10.2011).
Le Conseil de police de la zone Schaerbeek-Evere-Saint Josse se réunira le lundi 24 octobre 2011 à partir de 18h30 en la salle du Conseil de l’hôtel communal de Schaerbeek.
Le Faubourg Saint Antoine, ce sympathique restaurant situé avenue Giraud, 65 à proximité de la Gare de Schaerbeek, vous connaissez ? Un lieu de convivialité, ouvert tous les midis de la semaine et les jeudis et vendredis en soirée. Une cuisine équilibrée et raffinée vous est proposée à un excellent rapport qualité/prix. La petite particularité ? Les murs sont décorés de toiles rendant hommage aux aventures de Tintin. Voici quelques jours, j’apprends que des représentants de Moulinsart SA sont venus examiner les lieux et mettent en péril la décoration de l’endroit. Ce matin, stupeur, je lis une dépêche Belga relayée dans toutes la presse bruxelloise : Moulinsart SA estime que l’on porte atteinte à l’oeuvre d’Hergé. Malgré le questionnement légitime : un endroit privé ouvert au public, je suis outré par cette démarche ultra commerciale des légataires du petit reporter.
Un lecteur indiquait avec humour sur le site du journal « Le Soir » : j’espère que Moulinsart SA n’apprendra pas que mon fils a griffoné un dessin de Tintin ce week-end !!!!
Longue vie à ce restaurant scharbeekois plein de charme et de qualité !
Léon Verreydt que l’on nomme « schaerbeekologue » publie un nouvel ouvrage historique sur notre commune « Schaerbeek d’hier et d’aujourd’hui« , fruit d’une collaboration avec un passionné de photos et collectionneur de cartes postales, Luc Verbiest. 100 cartes postales illustrent cet ouvrage.
Renseignements complémentaires et commande : Léon Verreydt – Rue Alexandre De Cralene, 31 -1030 Bruxelles – 02.241.82.60 – e-mail : verreydt.leon@gmail.com
Après de longues années d’attente, Schaerbeek aura enfin un stade digne de ce nom. Le chantier du Crossing est actuellement dans sa dernière phase. Un projet qui a pu être mené à bien grâce à l’appui considérable de Beliris, l’accord de coopération entre l’Etat fédéral et la Région bruxelloise et dont est en charge Laurette Onkelinx au sein du gouvernement fédéral sortant.
Pour prendre ces clichés des chantiers communaux en cours rue d’Aerschot, je m’y suis rendu dimanche en matinée. Je me suis immédiatement fait la réflexion qu’au niveau de la propreté, c’est toujours un éternel recommencement. Je me souviens qu’en charge de la propreté publique, nous nous étions attaqués avec le service à la malpropreté de la rue d’Aerschot. Combien de planques avec l’appui de la police n’ont-elles pas été menées ? Aujourd’hui, elles ont d’ailleurs encore lieu. Mais malgré l’information, le placement d’urinoirs, les verbalisations et la bonne volonté des riverains, la rue et ses bâtiments dont cet immeuble communal faisaient bien peine à voir.
Quelle désolation de voir le chantier de construction d’un immeuble communal à l’angle de la rue Rogier et de la rue d’Aerschot dans un tel état. Tags, fenêtres cassées, tuiles arrachées et façade souillée. A l’initiative de la Région de Bruxelles-Capitale, la commune de Schaerbeek a bénéficié d’un contrat de quartier sur le périmètre Aerschot-Progrès. L’objectif principal était de racheter des immeubles d’angle avec la rue d’Aerschot pour les rénover et les destiner ensuite au logement voire de transit. Hélàs, des ennuis au niveau des chantiers ont paralysé cet objectif durant plusieurs années. Aujourd’hui, un seul bâtiment est achevé et occupé. Trois autres sont bien avancés mais celui-ci est une vrai désolation.
Bien inquiétante situation avenue Louis Bertrand dans le tronçon proche de l’avenue du Suffrage universel et du stade du Crossing. Une caravane visiblement accidentée et vandalisée est stationnée de manière fort dangereuse. Tout ceci est assez interpellant à savoir que l’engin n’ait pas été enlevé puisqu’il s’agit quand même d’une zone de passage régulier pour promeneurs à l’entrée du parc Josaphat.
Vendredi a eu lieu le vernissage de l’exposition consacrée à l’incendie de l’hôtel communal de Schaerbeek. Toiles immortalisant l’édifice après le ravage des flammes, documents d’époque, plans et projet de reconstruction sont exposés au public après un important travail de recherches de la part du service des Archives de la commune de Schaerbeek. L’exposition est ouverte au public dans la salle du Musée de l’hôtel communal jusqu’en janvier 2012.
Comme chaque samedi à partir de 11h, la section PS de Schaerbeek vous fixe rendez vous en son local « L’Âne rouge » avenue Rogier, 149. Me voici en compagnie du président de la section Yves Goldstein, Walter et Ghislaine Molai, conseillère CPAS.
Bruxelles Environnement organise une réunion d’information sur son projet de réaménagement du parc Walckiers ce lundi 17 octobre 2011 à 19h à l’Institut de la Sainte Famille rue Chaumontel, 5 à 1030 Schaerbeek. L’occasion très certainement d’y voir plus clair dans ce projet qui suscite déjà de vives contestations.
En arpentant les rues de Schaerbeek, vous avez certainement remarqué des petites pavés en mosaïques. Initialement, ils indiquaient le parcours d’artistes en 2009. Aujourd’hui, ils colorent les trottoirs de la Commune. Ils sont l’oeuvre de l’artiste Ingrid Schreyers et peuvent être commandés sous le format 30×30 ou 15×15.
Je pensais qu’il s’agissait d’une sorte de légende urbaine qui m’était rapportée par des Schaerbeekois bien dépités d’avoir reçu une amende pour dépassement du stationnement payant. Aujourd’hui, au vu de mon expérience, je confirme que c’est bien réel. Ainsi, on m’avait toujours affirmé que les personnes travaillant pour la société Rauwers qui gère pour la Commune de Schaerbeek le stationnement, étaient plus que zélées, attendant parfois même à la minute que pour pouvoir « coller une prune ».
Ce lundi vers 8h30, je me rends à l’administration place Colignon pour y consulter une enquête publique. Le stationnement payant sur la place débute à 9h. Je prends donc un ticket mais bon comme cela arrive souvent, cela prend un peu plus de temps. Mon ticket est valable jusqu’à 9h32. A 9h41, amende de 25 euros de Rauwers. J’étais de retour à 9h42…
Alors on me dira que je n’avais avec ma carte de stationnement riverain qu’à me garer dans un lieu non payant mais la logique lorsque l’on va à l’hôtel communal c’est de se garer au plus près et de faire au plus vite. Au vu des files ou des démarches à poser, on est évidemment pas toujours certain d’être de retour à l’heure. Une marge de tolérance de 15 minutes me semblerait bien légitime pour des citoyens venant à l’administration.
Bref, tout cela pour conclure qu’avec le recul, je regrette d’avoir une telle gestion du stationnement dans notre commune. Une gestion où l’on a fait abstraction du service au public. Dans d’autres communes comme Saint Gilles ou Bruxelles-Ville, ce sont des agents communaux qui s’occupent du stationnement. Le contact y est sans conteste plus humain car tout simplement impulsé par le sens du service public et non pas une course effrénée vers le gain (bien légitime sous cet angle-là) de la part d’agents engagés par une entreprise privée.