Satisfaction de Laurette Onkelinx et du groupe PS de Schaerbeek suite à la décision du Collège juridictionnel.
Laurette Onkelinx avait en effet déposé plainte à propos du « Mag Schaerbeek », ce soi-disant magzaine d’informations schaerbeekois distribué en toutes-boites juste en période pré-éléctorale et qui a ensuite comme par enchantement disparu de la circulation.
Amusant l’argumentaire de Bernard Clerfayt à propos du dernier conseil communal. Selon lui, le PS prend la démocratie en otage ! Lorsque je lis cela, il me semble vraiment qu’il est grand temps que le chef de file du MR à Schaerbeek prenne un peu de temps pour faire son auto-critique au lieu d’être figé dans ses grandes certitudes.
Puisque M. Clerfayt parle de démocratie, je m’étonne qu’il ne s’apesantisse pas plus sur le revers (un de plus) qu’il a notamment subi lors de l’examen d’un point au Conseil communal.
Les premières neiges de 2007 étaient très attendues par certains mais elles ont surtout provoqué une énorme pagaille jeudi matin dans les rues de Schaerbeek puisque les services communaux n’avaient visiblement pas planifié un passage préventif de grand matin.
On a beaucoup parlé des zones 30 il y a quelques jours. Des paneaux indiquant que plus de 1.000 voitures par heure circulent dans certaines artères dites « interquartiers » ont également fleuri sur le territoire de la commune de Schaerbeek mais qu’en est-il du reste ? Des autres rues qui suite à des mesures visant à dissuader les automobilistes de traverser certains quartiers, sont devenues bien malgré leur caractère résidentiel initial de véritables autoroutes urbaines.
Alors que je passais rue du Progrès, j’ai revu cette affiche « Non à la haine » qui fait partie d’une très louable et intéressante initiative émanant d’Etienne Noël, échevin des Cultes en vue de favoriser un dialogue et un rapprochement entre les différentes communautés religieuses et laïque. Toutefois, comme au temps de son lancement, et je persiste sur ce point, je trouve qu’il aurait probablement mieux valu appeler cette campagne « oui, au dialogue« . C’est tout de même plus positif
Suite à un précédent article sur un terrain non bâti rue des Palais qui s’était transformé au fil du temps en dépotoire, plusieurs visiteurs du site m’ont signalé la présence de cas similaires dans leur quartier. En voici encore un particulièrement « spectaculaire » à l’angle des rues Jolly et Destouvelles. On comprend l’exaspération des riverains face aux incivilités d’une petite minorité de personnes.
A la faveur d’une promenade ce dimanche dans le quartier de la place Gaucheret, j’ai pu constater quec les rues étaient très propres. De rares papiers jonchent parfois les trottoirs. Mis à part l’une ou l’autre corbeille publique bouchée à cause de petits sacs ou un dépôt clandestin, la propreté du quartier au niveau des rues Gaucheret, Jolly, Destouvelles, Philippe Thomas fait vraiment plaisir à voir. C’est un signe très encourageant pour les équipes de l’E.E.P. dans leur travail au quotidien. On ne change en effet pas une méthode et une équipe qui arrivent à de tels résultats satisfaisants. En revanche, de nombreux tags sont à déplorer. Probablement, faudra-t-il dans ce cas-là une autre approche et une communication plus ciblée.
L’événement mérite d’être salué : une nouvelle construction place Gaucheret, 11-12 a permis la création de 6 logements. Le bien appartient à la Commune. Tous les appartements sont déjà occupés. Un rez commercial est quant à lui toujours à prendre en location. Lorsque l’on connaît la longueur des listes d’attente pour les logements communaux et la timide politique du logement du Collège des Bourgmestre et Echevins de Schaerbeek, on ne peut donc que s’en réjouir.
Le quartier de la place Gaucheret évolue petit à petit mais les chantiers se poursuivent. Même si les échéances des futurs chantiers ont été largement diffusées auprès des riverains via notamment la tenue de goûters de quartier, ce n’est pas toujours facile d’être un habitant de la place Gaucheret dans ces conditions. Ce dimanche, grâce aux rayons du soleil de nombreux enfants jouaient au ballon en partie dans le parc mais aussi parfois entre des matériaux de chantier. Ici, la patience sera de mise encore pour quelques temps…
Cela a été dit et redit, expliqué et réexpliqué mais visiblement certains n’ont toujours pas compris et continuent à déposer des petits sacs dans les corbeilles publiques, qui fatalement sont du coup rapidement obstruées. Cette photo a été prise dans le quartier Nord au coin de la rue Rogier et de la rue du Progrès. Il est toutefois utile de rappeler que ceux qui bouchent de la sorte des corbeilles publiques, sont très souvent identifiés et donc… verbalisés. A bon entendeur…
Encore un chantier qui vient à terme dans le quartier Nord. Après 2 ans et demi de travaux, le building « L’Ellipse » situé 35, Boulevard du Roi Albert II a été inauguré. Pas moins de 50.000 m² de bureaux dont 60% occupés par la Communauté flamande. Le complexe regroupe en fait quatre bâtiments à savoir le hall d’entrée en forme d’ellipse, un immeuble de 21 étages (80 mètres de hauteur), en partie elliptique et deux bâtiments non arrondis, l’un de 7 étages situé à l’angle de la place Solvay, et l’autre de seulement 3 étages au niveau de la rue Gaucheret.
Encore un endroit de Schaerbeek qui mériterait toute l’attention des nouvelles autorités communales : un terrain non bâti situé à l’angle de la Place Princesse Elisabeth et de l’avenue Emile Zola.
Encore un endroit où il reste beaucoup à faire : rue des Palais, près de la place Liedts. Un terrain assez vaste où durant de longues années des bâtiments (aujourd’hui détruits) sont restés à l’abandon. La Commune a bien tenté en son temps de procéder à une expropriation pour cause d’utilité publique mais finalement cela n’a pas abouti.
Mardi soir, les conseillers communaux ont assisté à ce que l’on appelle des « commissions réunies« . En effet, avant chaque conseil communal, les élus se retrouvent dans des commissions par thème. Hier, il s’agissait de débattre de la note de politique générale de la nouvelel majorité. Un texte, et je pèse mes mots, d’une banalité consternante et affligeante.
