Conseillère communale schaerbeekoise depuis 2007, Derya Aliç présente un parcours de vie qui force le respect. Parfaite trilingue (français, néerlandais, turc), elle a repris des études après son mariage et la naissance de ses enfants. Elle a grâce à ce bagage intellectuel, mis sur pied l’association des Turkish Ladies et se démène au quotidien pour l’alphabétisation chez les femmes immigrées.
Femme de coeur et d’honneur, elle a toujours conservé sa dignité malgré les attaques sournoises dont elle fut victime de la part de la majorité schaerbeekoise sous la précédente de législature. Un rapport de force avec le Collège échevinal que Derya a finalement (et à juste titre) gagné devant la loi.
Derya, femme de caractère, de bon sens et pugnace jusqu’au boit ds doigts mais aussi une femme de parole et d’engagement sincère.
Investi en politique depuis de nombreuses années, Halis Kokten est conseiller communal schaerbeekois depuis 2007.
Il mène actuellement une campagne électorale tambour battant, lui qui est très actif sur le terrain et plus particulièrement dans le quartier dit de la Petite Anatolie chaussée de Haecht.
Père de quatre enfants et très présent dans le milieu associatif depuis plus de 20 ans, Halis a à coeur de valoriser l’harmonie entre les différentes communautés de notre région bruxelloise.
J’avoue que ces derniers jours, je scrutais ici et là sur les balcons schaerbeekois les panneaux électoraux. Et voilà, j’ai enfin trouvé : des panneaux du bourgmestre Bernard Clerfayt accrochés à un balcon.
Lorsque l’on se souvient que le même Bernard Clerfayt avait pesé de tout son poids lors du Conseil communal pour faire voter (majorité contre opposition) un règlement de police concernant la période d’affichage électoral interdisant l’affichage de panneaux sur les balcons des particuliers, décision cassée par le Conseil d’Etat, on ne peut que sourire de voir que le pourfendeur de l’affichage de balcon, s’y retrouve lui-même …
Matthieu Degrez est un avocat qui a la politique dans le sang. Défenseur des causes nobles et de ceux qui ne peuvent se défendre, il est depuis 2013 l’un de nos représentants PS au sein du Conseil de l’Action sociale de Schaerbeek (CPAS). Il fut président de la Fédération des Jeunes socialistes bruxellois et a gardé cet instinct de réactivité face aux causes qui le touchent et le bouleversent.
Jamais avare d’un brin d’humour, le dynamique Matthieu est aussi un homme de dossiers et de terrain.
Conseiller communal depuis 2007, Ibrahim Dönmez, kinésithérapeute, est un homme de terrain depuis bien longtemps. Habitant du quartier Gaucheret à Schaerbeek, il y a tissé des liens forts et durables.
Lors des dernières élections régionales, il a manqué de peu son siège de député. Ibrahim est particulièrement connu pour ses interventions précises et irritantes (pour la majorité) au Conseil communal en matière de marchés publics. Il est aussi très impliqué en matière de mobilité en tant qu’administrateur à la STIB. Lors de cette campagne électorale décisive du 25 mai prochain, Ibrahim ne ménage pas ses efforts et son énergie pour aller à la rencontre de la population.
Invité pour un débat sur la Première ce mardi face au Premier Ministre Elio Di Rupo, Didier Reynders, tête de liste MR à la Chambre pour Bruxelles a commis un dérapage verbal dont il est souvent coutumier à l’approche du scrutin électoral.
Morceau choisi : « J’ai beaucoup de respect pour ces deux hommes (Martens et Gol). Je rappelle juste qu’à l’époque il a fallu redresser ce qu’avait fait un gouvernement avec Guy Mathot comme ministre du Budget. Pendant les 10 ans qui ont suivi, sans les libéraux au gouvernement, ce qu’on a connu, ce sont les enlèvements et disparitions d’enfants, les affaires, la dioxine… Il a fallu le retour des libéraux pour remettre de l’ordre« .
L’association entre l’action d’un gouvernement à participation socialiste et les enlèvements d’enfants a été qualifiée sur Twitter de « dérapage odieux et indigne d’un démocrate » par le président du PS, Paul Magnette. Ont aussi réagi avec véhémence, le président du Cd&V Wouter Beke qui qualifie les propos d’indignes, Emilie Hoyos (Ecolo) se déclare « glacée par ces propos inqualifiables« , le Ministre Philippe Henry (Ecolo) demande que Didier Reynders s’excuse publiquement,…
Cliquez ici pour prendre connaissance d’un article sur le sujet dans la Libre.
Döne Sönmez est conseillère communale depuis l’élection de 2012. Une première candidature aux élections qui en fonction de son score lui a permis de siéger dans notre Conseil communal schaerbeekois. Döne que j’ai rencontrée et appris à connaître depuis la campagne communale de 2012, est une femme très investie au sein du parti socialiste turc également. Militante depuis toujours, nous pouvons aujourd’hui fortement apprécier son dynamisme et son enthousiasme au sein de notre section de Schaerbeek. Présente sur le terrain, lors du tractage, Döne en veut pour faire entendre les causes qui lui sont chères. Elle est 6ème suppléante à la Région, une place de combat pour une femme de combats.
Suite à la décision du Conseil d’Etat de suspendre l’article 2 paragraphe 2 du règlement de police concernant les modalités d’affichage électoral à Schaerbeek et consistant à pouvoir dès lors afficher un panneau sur son balcon, une personne réagissait à ce sujet sur Facebook. A juste titre cette habitante de Schaerbeek regrettait que pendant le prochaines semaines, des panneaux fleurissent donc sur les balcons, créant au final bien peu d’esthétique dans les quartiers.
A nouveau, Bernard Clerfayt soutenu par Isabelle Durant et le groupe Ecolo au Conseil communal, a joué la carte du « tout ou rien« . Le PS a bien tenté de moduler le règlement d’affichage mais animée par de mauvais prétextes, la discussion a tourné court avec Bernard Clerfayt.
Soyons réalistes, Bernard Clerfayt et Isabelle Durant n’ont pas soudainement pris conscience que l’affichage sur les balcons pouvaient générer un manque d’estéthique ou être en opposition (selon eux) avec le règlement régional d’urbanisme. Assez d’hypocrisie !
Le PS ne pouvait laisser passer en l’état ce règlement. Ne pas réagir aurait été absolument néfaste. Cela aurait ouvert la porte à bien des dérives. Comment pourrait-on accepter au nom de la liberté d’expression que l’on interdise de s’exprimer et qui plus est sur son propre balcon ? A ce rythme-là, Bernard Clerfayt, toujours très prompt à faire pondre par l’administration des règlements (sur les façades, les petits herbes des trottoirs,…), aurait fini par décider quelles fleurs pouvaient se mettre dans des jardinières au balcon…
Le Conseil d’Etat a donné raison à l’opposition schaerbeekoise qui contestait le règlement de police concernant l’affichage électoral voté lors du Conseil communal du 26 mars dernier. L’article 2 de ce règlement prévoyait une interdiction d’affichage de panneaux électoraux sur les balcons sous peine de verbalisation par les autorités communales.
Le PS de Schaerbeek qui est bien évidemment désireux d’une campagne électorale sereine et dans le respect de l’espace public, entendait défendre jusqu’au bout le droit à la liberté d’expression, qui plus est dans un espace privé.
Le PS de Schaerbeek se réjouit de la suspension de l’exécution de l’article 2 paragraphe 2 du règlement de police voté par le Conseil communal du 26 mars et ce jusqu’à la fin de la période d’affichage électoral.
Article du journal « La Dernière heure » qui revient sur le vote par la majorité FDf-Ecoo-Cdh de Schaerbeek de l’interdiction d’affichage sur son (propre) balcon de panneaux électoraux. Et l’article de souligner que le même Bernard Clerfayt qui souhait aujourd’hi une campagne « propre » sans affichage au balcon en a pourtant bien abusé par le passé…
Article du journal « La Dernière heure » qui revient sur les dissensions au sein de la majorité FDF-Ecolo-Cdh de Schaerbeek à propos des nuisances provoquées par les avions. Isabelle Durant (Ecolo) avait proposé initialement un texte différent mais en séance un compromis fut trouvé, permettant d’éviter une nouvelle brèche au sein de la coalition.
Hier au Conseil communal se débattait le point du règlement de police d’application jusqu’à la fin de la campagne électorale 2014. Comme annoncé depuis quelques jours dans la presse, le bourgmestre Bernard Clerfayt (FDF) entend mener une campagne d’affichage minimale en vue de garantir une campagne propre dans l’espace public. Difficile de ne pas partager ce point de vue bien louable.
Les nouvelles dispositions avancées par la majorité FDF-Ecolo-Cdh prévoient d’interdire l’affichage de panneaux sur les balcons. Désormais, il ne sera possible d’afficher son soutien à un candidat que sur sa fenêtre. La Commune a prévu des panneaux électoraux officiels en différents points de son territoire. L’affichage de ceux-ci se faisant par les bons soins des services communaux.
Le PS a tenu à réagir à cette nouvelle disposition. Il est pour le moins étonnant que l’on ne puisse soudainement plus mettre un panneau à son propre balcon. L’échevine de l’urbanisme Cécile Jodogne (FDF) nous a alors brandi le RRU (règlement régional d’urbanisme). Comme si celui-ci venait de voir le jour…
Dans la foulée, le bourgmestre Bernard Clerfayt qui s’est soudainement mué en l’espace de quelques jours en chevalier blanc de l’anti-affichage, propose que l’interdiction s’étende aussi aux commerces. Et Isabelle Durant (candidate malheureuse à l’Europe, qui s’est finalement repliée sur les élections régionales) d’enclencher en demandant que l’affichage dans les commerces soit totalement interdit afin d’éviter des pressions sur les commerçants.
Bernard Clerfayt propose donc au vote que la Commune invite les commerçants à ne pas apposer d’affiches électorales. Les groupes PS et MR ont alors demandé d’ajouter « ceux qui le souhaitent ». Il serait en effet totalement édifiant d’adresser un courrier des autorités communales aux commerçants en leur interdisant dans leur espace privé d’apposer des affiches ! Au moment du vote, Isabelle Durant revient à la charge mais ne sera pas suivie par ses partenaires du Collège. Seul Ecolo votera pour l’interdiction totale. L’affichage dans les commerces qui le souhaitent, reste donc tout à fait autorisé.
Au Conseil communal de ce mercredi 26 mars figurait l’adoption d’un contrat de bail pour l’occupation de locaux supplémentaires par l’antenne décentralisée d’Actiris à Schaerbeek. Actiris pourra désormais compter sur 200 m² de plus au sein des bâtiments communaux situés rue de Jérusalem à côté du Neptunium.
Une bonne nouvelle pour le milieu associatif du quartier de Helmet. Un local anciennement occupé par l’antenne Atrium dans l’école communale Georges Primo rue Richard Vandevelde, sera loué par différentes associations du quartier pour des cours de remédiation scolaire, un atelier de réparation de vélos, un dépôt de produits bios,…