Depuis le départ du mât de Lalaing vers l’avenue Louis Betrand, ce qui lui avait jusqu’alors servi de socle avait bien triste mine. Heureusement avec le retour des beaux jours, voici le parterre de fleurs qui l’orne désormais. Du plus bel effet.
L’Université catholique de Louvain en collaboration avec le département de Sciences Politiques de l’Université Nationale de Colombie propose une conférence internationale sur le thème « Colombie, des chemins pour la paix » qui se tiendra le 10 avril 2007 de 9h à 16h à l’Auditoire Montesquieu (10, place Montesquieu) à Louvain-la-Neuve.
En ce 7 avril désormais journée dédiée à tous les soldats belges décédés en mission à l’étranger avec un souvenir plus particulier encore pour les 10 Casques bleus tués au Rwanda, les bâtiments des institutions avaient hissé le drapeau belge comme j’ai d’ailleurs pu le constater au centre-ville et dans le quartier du Palais royal de Bruxelles.
En revanche, pas de trace du drapeau belge au mât de l’Hôtel communal de Schaerbeek. Un oubli totalement regrettable en ce jour du souvenir…
Il y a 13 ans, 10 Casques bleus belges, le lieutenant Thierry Lotin et les caporaux Christophe Dupont, Yannick Leroy, Bruno Bassine, Louis Plescia, Bruno Meaux, Alain Debatty, Christophe Renwa, Marc Uyttebroeck et Stéphane Lhoir étaient massacrés au Rwanda, en prélude à un génocide qui coûtera la vie à plus de 800.000 personnes.
La date du 7 avril est désormais dédiée à tous les militaires belges tombés en mission à l’étranger. Une cérémonie s’est ainsi tenue à la Colonne du Congrès.
Superbe exposition que celle des photos aériennes de Yann Arthus-Bertrand qui se tient jusque fin juin face au Palais Royal de Bruxelles.
Des photos aériennes qui nous montrent, ces le cas de le dire, les villes, la terre sous un tout autre angle. Des photos prises à Bruxelles, Bilbao, dans les îles, en Afrique ou en Asie et qui nous montrent parfois des réalités que l’on imaginerait pas telles.
Avec le retour des beaux jours, voici une adresse qui mérite assurément le détour : le mini-golf de Schaerbeek. Situé aux abords du parc Josaphat, l’entrée se fait par l’avenue Amabassadeur Van Vollenhoven au niveau de l’avenue des Azalées.
Ceux qui fréquentent le parc Josaphat connaissent bien la buvette du Tir à l’arc Sint Sebastiaan Gilde. Ca y est, elle a réouvert ses portes. Vous y serez chaleureusement accueilli par Léo et Paula Braecken.
Le CIVA (rue de l’Ermitage, 55 à 1050 Bruxelles) vous propose du 20 avril au 16 septembre 2007 une exposition conçue en collaboration avec le Finnish Cultural Institute de New York, le Museum of Finnish Architecture de Helsinki et le National Building Museum de Washington DC.
Cette exposition intitulée « Shaping the Future » est la plus grande rétrospective consacrée à l’oeuvre de Eero Saarinen (1910-1961), l’un des maîtres les plus originaux mais aussi les plus controversés de l’architecture au 20ème siècle.
Voici un chantier qui en réjouira plus d’un. Situé à l’angle de l’avenue Huart-Hamoir et de la Place Princesse Elisabeth, il permettra de mettre un terme à un terrain longtemps abandonné.
Voici un dispositif d’affichage situé place Princesse Elisabeth à l’angle avec l’avenue Huart Hamoir. On y distingue nettement une affiche annonçant un événement ayant eu lieu fin janvier 2007 alors que nous sommes en avril…
Aujourd’hui, j’ai choisi de vous parler non pas d’une personne mais d’un couple : Serge et Beate Klarsfeld, plus connus sous le nom de « chasseurs de nazis« .
Serge Klarsfeld est né en septembre 1938 en Roumanie. Il échappa à la Gestapo à Nice en 1943, caché par son père qui lui fut déporté et tué à Auschwitz.
Il est diplômé d’études supérieures en Histoire à La Sorbonne, de l’Institut d’études politiques de Paris, docteur ès Lettres et avocat au barreau de Paris.
Avec son épouse Beate, il est à l’initiative des procès contre René Bousquet, Paul Touvier, Maurice Papon et Klaus Barbie. C’est Beate Klarsfeld qui retrouva la trace de Klaus Barbie en Bolivie et qui permit son extradition afin qu’il soit jugé notamment pour la déportation des enfants d’Izieu.
Quelle bonne nouvelle ! Schaerbeek renforce son combat contre la malpropreté. Ainsi, en plus des différentes actions menées sur le terrain au jour le jour, les planques en collaboration avec la police, voici à présent qu’un policier par commissariat à raison de 1 à 2 jours par mois sera uniquement affecté pour accompagner les agents de la propreté dans leur mission.
Personnellement, je ne peux que me réjouir de cette mesure que j’avais si longtemps appelée de mes voeux.