Jean-Pierre Van Gorp : à coeur ouvert (2ème partie)
Il y a eu le retrait de vos attributions, le déménagement sous les combles de l’Hôtel communal et beaucoup de mesquineries de la part de Bernard Clerfayt à votre égard…
JPVG : Le jeudi 16 mars au soir, l’info de mon passage au PS a couru. Bernard Clerfayt est alors venu à mon domicile pour tenter de m’en dissuader. C’était trop tard. Je dois toutefois dire que nous nous sommes parlés sereinement pendant 45 minutes sans éclats de voix. Mais probablement que ni l’un ni l’autre, nous ne pouvions entendre la version de l’autre. C’était trop tard. Si nous nous étions parlé comme cela plus souvent au cours des derniers mois, peut-être que les choses auraient été autrement. Plus