/ , /

Conseil communal : 18.12.2020

Dernier Conseil communal de 2020 ce 16 décembre via zoom. A l’ordre du jour, les budgets du CPAS et de la Commune et différentes interpellations de l’opposition sur la situation de l'(im)mobilité du quartier Azalées, l’aide aux commerçants ou le projet immobilier sur l’actuel site du Brico chaussée de Haecht.

/ , /

Nouveau logo du CPAS de Schaerbeek

 

Voici le nouveau logo du CPAS de Schaerbeek. Le descriptif de celui-ci est donné sur le site officiel de la Commune de Schaerbeek : « L’image de l’escalier a été retenue pour ce logo. Ce concept représente l’ouverture, la diversité mais aussi l’idée d’évolution et d’émancipation. Le CPAS apporte le soutien nécessaire au citoyen mais lui offre également tous les outils indispensables à son émancipation. L’escalier symbolise très bien ce concept d’évolution, d’ascension et d’émancipation. Le CPAS est tout sauf une institution paternaliste, juste bonne à fournir un revenu d’intégration. Il aide chacun à se prendre en main, à retrouver une dignité et un projet de vie et, finalement, à sortir de la précarité pour voler de ses propres ailes.

Autrement dit, “Prendre soin et autonomiser”. Ce nouveau slogan du CPAS suit la même logique que le symbole de l’escalier : le CPAS est là pour donner tous les outils qui permettront à chacun de s’émanciper, de se former, d’évoluer et de récupérer une dignité. La notion de responsabilisation est également bien présente, impliquant le citoyen au premier plan : celui-ci devra s’engager à utiliser les outils mis à sa disposition par le CPAS afin de s’inscrire dans ce processus d’émancipation »

A titre purement personnel, j’en reviens à nouveau qu’avec l’emploi de termes en anglais « Caring and empowering » ou lors des animations au parc Josaphat avec « Park to be… », on ne cible qu’une certaine et infime partie de la population schaerbeekoise, qui passe carrément à côté du message que l’on souhaite véhiculer.

/ , /

Quand les décisions du Collège échevinal schaerbeekois se prennent en fonction du vent Ecolo local…

C’est ce que l’on appelle faire la girouette. Quoique… Après une fermeture de plusieurs mois dont tout cet été, l’avenue Ambassadeur van Vollenhoven a été rouverte aux voitures. Si ce n’est pas spécialement une artère de circulation, elle permet au moins le stationnement et dans l’absolu ne dérange donc quiconque en automne et hiver surtout en soirée.

Après cette phase-test et on imagine des conclusions à celle-ci, le Collège échevinal de Schaerbeek a donc décidé de rouvrir aux autos. Mais voilà que de farouches défenseurs d’une enième rue apaisée à Schaerbeek (la définition du mot « apaisé » n’étant visiblement pas la même pour tous, il suffit de voir l’avenue « apaisée des Azalées ») ont manifesté/déambulé le week-end dernier.

Et hop ! Changement d’avis au Collège : l’avenue restera fermée ! Si l’avenue était restée fermée après les conclusions d’une phase-test, soit mais que l’on rouvre, pour refermer sous la pression de 50 promeneurs du samedi se déclarant riverains (à voir…) me sidère. C’est donc cela la nouvelle manière de gérer les affaires de la Commune ? On s’époumone un peu lors d’un rassemblement/promenade, on pousse une gueulante sur les réseaux sociaux et hop girouette dans un sens ou dans l’autre.

Je m’étonne donc que les protestations argumentées des citoyens-riverains de l’avenue des Azalées qui sont pourtant plus nombreux que la poignée de « manifestants » de l’autre jour au parc Josaphat, ne soient quant à elles pas entendues. Nouvelle démonstration en tous les cas, que c’est bien le parti Ecolo qui tient la barre du gouvernail au Collège échevinal depuis le départ de Bernard Clerfayt à la Région.

/ /

Faillite du Train Hostel à la gare de Schaerbeek

Bien triste nouvelle pour Schaerbeek. Le Train Hostel, petit hôtel si original où il était possible de dormir comme dans un train couchette, ouvert avenue Rodenbach à côté du musée du train Train World, a fait faillite. Il n’a pas résisté aux fermetures successives et à l’absence de clientèle en raison de la pandémie.

Dès cette semaine, il sera occupé par l’Armée du salut qui hébergera sur place des femmes et des enfants (une quarantaine). Un contrat d’un an a été signé. L’exploitant du Train Hostel espère malgré tout pouvoir rouvrir dans le futur. Cliquez ici pour lire l’article de La Dernière Heure.

«‹ 37 38 39 40›»
by CADS